Et si Bouygues Telecom venait de changer les règles du jeu en cybersécurité ?
2025 s’annonce comme une année charnière pour la cybersécurité made in France. Bouygues Telecom, géant des télécoms, ne se contente plus de connecter les gens. Il se lance à fond dans la cyber avec le rachat de Secinfra et l’appui de C2S. Objectif : protéger les entreprises françaises avec une défense proactive boostée à l’IA… et validée par l’ANSSI. Rien que ça.
- 🔍 Bouygues Telecom accélère dans la cybersécurité française avec le rachat de Secinfra et le soutien de C2S, misant sur l’IA proactive et la validation ANSSI.
- 🤖 Une sécurité numérique sur-mesure alliant réactivité, IA comportementale et expertise terrain, adaptée à tous les secteurs, sans exploser les budgets.
- 🚀 Grâce à Secinfra et C2S, Bouygues structure une offre complète axée sur la prévention des cyberattaques, la gestion de crise et l’innovation continue.
- 🌍 L’opérateur adopte une approche cyber offensive pour anticiper les menaces, tout en renforçant la souveraineté numérique à l’échelle nationale et internationale.
Pourquoi ce virage cybersécurité maintenant ?
Parce qu’aujourd’hui, les attaques numériques ne sont plus un “risque lointain”, mais une réalité quotidienne.
Et Bouygues l’a bien pigé. En rachetant Secinfra, un expert bien connu du secteur, l’opérateur renforce sérieusement ses muscles numériques.
Ce n’est pas juste une question de business, c’est une stratégie bien calée pour rester dans la course et protéger les boîtes tricolores.
Secinfra + C2S + Bouygues : un trio qui envoie du lourd
En intégrant Secinfra et en misant sur C2S (sa branche cyber maison), Bouygues monte un vrai commando pour répondre aux attaques, sécuriser les systèmes critiques, et proposer des offres taillées sur-mesure. Résultat : un écosystème agile, français, qui allie innovation, réactivité et savoir-faire terrain. Le tout, validé par les experts de l’ANSSI. Tu veux du solide ? T’en as.
Ce que ça change pour les entreprises en France
- Des alertes plus rapides grâce à l’IA comportementale intégrée.
- Des équipes formées pour intervenir dès la première faille.
- Des services pensés pour s’adapter à tous les budgets.
En clair, tu peux renforcer ta sécurité sans te ruiner, ni bouleverser toute ton organisation. La cyber devient accessible, et surtout, elle anticipe plutôt que de réparer après coup.
Secinfra : bien plus qu’un prestataire, un pionnier
Ce que Secinfra apporte dans l’équation ? Une vraie expertise. Leurs outils tournent avec de l’analyse en temps réel, des algos de détection ultra-fins et une réactivité testée en conditions réelles. Leur spécialité : la réponse à incident, la gestion de crise et l’audit de sécurité. Avec eux, Bouygues passe clairement un cap.
C2S, l’atelier cyber qui pilote la fusée
C2S, c’est un peu la tour de contrôle de cette transformation. Ce sont eux qui vont faire bosser tout le monde ensemble, structurer les offres, adapter les solutions aux secteurs les plus sensibles (comme la santé, la banque, ou l’industrie). Et surtout, ils vont insuffler une culture cyber à tous les niveaux des boîtes clientes. Une vraie vision de long terme.
Vers une cybersécurité offensive, pensée pour durer
Bouygues ne veut pas juste “réagir”. Ils veulent prévenir, anticiper, prendre les devants. Et pour ça, ils misent sur :
- La R&D continue pour garder un coup d’avance sur les hackers.
- Des solutions automatisées grâce à l’intelligence artificielle.
- Un développement à l’international pour porter la techno française au-delà des frontières.
Ils ne se contentent plus de défendre, ils attaquent… avec les bonnes armes.
Conclusion : la cybersécurité made in France passe à la vitesse supérieure
Avec ce rachat stratégique, Bouygues Telecom envoie un signal fort : la cybersécurité, c’est désormais au cœur de leur ADN. Grâce à l’alliance avec Secinfra et le pilotage de C2S, ils proposent un modèle solide, accessible, et surtout efficace pour toutes les entreprises qui veulent se protéger. Alors si t’en as marre de te demander quand ton système va se faire pirater, il est peut-être temps de passer à l’action.
Parce qu’en cybersécurité, attendre, c’est déjà risqué.